Ouais, plutôt une mauvaise idée je pense. C'est un coup à psychoter à la première envie de quitter ta chambre - ne serait-ce que pour aller pisser - en craignant de rencontrer tes collocs que t'aimes pas. Passer 8h dans le noir dans une chambre ça me paraît très très bof et surtout, difficile à tenir. Tu peux facilement te retrouver avec une envie ou un besoin irrépressible de bouger de ta chambre pour x ou y raison dictée par le trip. Je te conseillerais plutôt d'attendre le moment opportun pour consommer, entouré de bonnes personnes, et p'tet même pouvoir bénéficier d'un peu de lumière :) Dans tous les cas, c'est toujours difficile de prévoir comme va tourner une prise de LSD, mais il faut mettre le maximum de chances de son côté, or là le set&setting tel que tu l'évoques semble vraiment pas au top...
Peace :vap:

Pour ma part je ne suis pas trop convaincu par le casque pour la musique sous psychés, avoir un truc sur la tête peut vite devenir oppressant...enfin pour moi en tous cas. Et puis avec le casque on se coupe aussi des vibrations sonores qui sortent des enceintes, on est plus immergé auditivement, mais moins corporellement. On se coupe aussi de toute interaction avec les gens qui nous entourent. Ça peut être bien, ou pas. Sinon, pour ma part, pour amplifier les effets des psychés en général, je me fume un gros pétard (ou plus si affinités). Je ne le conseille pas si on a pas un peu d'expérience avec les psychés (et la weed), le combo cannabis+LSD peut être surprenant, mais pas forcément de la bonne façon. Mais ça "intensifie" l'expérience. Pour le reste, je ne planifie et ne prévois rien, parce que normalement, avec une dose convenable de psychédéliques, rien ne se passe comme prévu :) Un bon set&setting et se laisser porter...c'est ça la base de "l'intensification" de l'expérience. Peac …

Pinaise, ça c'est vraiment un vaste post, une vaste question. Pour le hardcore/speedcore/breakcore, j'aurais presque rejoint Lloigor...il y a 15 ou 20 ans :) Grand fan de Venetian Snares j'étais, mais maintenant sous drogues je cherche des trucs plus organiques...les affinités musicales évoluent. Bon l'autre problème (en réalité c’en est pas vraiment un) avec la MD, c'est que globalement on trouve toute zik cool, même des trucs qu'on kifferait pas tant que ça à jeun. Au final je me rends compte que je suis plus sélectif sous psychédéliques, avec la MD, tout passe - enfin presque. Voilà, un bon post qui sert à rien :lol: parce que j'ai pas de lien youtube à mettre (ou alors trop). Peace :vap:

Et oui, aborder le LSD avec crainte peut aussi favoriser le bad trip. Dans l'absolu, le LSD ne devrait pas susciter la crainte, mais le respect. Même quand on a appris à le dompter un peu, on n'est jamais à l'abri d'une expérience pénible. C'est pourquoi, comme je le disais aussi plus haut, pour limiter les effets ressentis comme négatifs, il est important de mettre le maximum de chances de son côté, et pour ce faire, il ne faut pas lésiner sur l'aspect "set & setting". Je me rends compte aussi qu'au final tu ne nous a pas dit exactement quelle était ta prédisposition à la 'maladie mentale' que tu évoques dans ton premier post, mais il ne faudra pas écarter le fait que cet aspect ait pu contribuer à rendre l'expérience désagréable. Peut-être que tout simplement le LSD n'est pas fait pour toi. Les psychédéliques c'est un monde (plusieurs en fait) à part et tout le monde n'est pas forcément à l'aise avec. Certains ne jurent que par ça (j'en fais partie), d'autres les évitent soigneusemen …

Salut :) Pas sur de bien comprendre ce que tu veux dire par "crocher", tu veux dire "accrochée" ou "bloquée" j'imagine ? Si c'est ça, la réponse est : non, on ne reste pas "bloqué" ou "accroché" avec le LSD. Par contre : le LSD agit comme un amplificateur ou un révélateur. Si tu as des soucis d'ordre mental, le LSD risque de les amplifier, et il peut aussi révéler, mettre au jour, des problèmes latents, enfouis. Cela dit, "maladie mentale" ça reste vague comme description, donc difficile de dire quel pourrait être l'impact du LSD dans ton cas précis. Il faut cependant garder en tête que le LSD ne permet pas d'éluder les soucis, au contraire, il a tendance à nous mettre face à face avec nos problèmes. Selon la nature de ta maladie mentale donc, le LSD pourrait être une expérience très marquante et très désagréable.
Aussi, si tu n'es pas expérimentée avec cette molécule (ou les psychédéliques en général), évite de le consommer seule la première fois, essaye de trouver quelqu'un qui reste …

Merci, TR très cool à lire :) Assez surprenante ta réaction à la fume pendant les trips (sauf celui-ci apparemment). Chez moi ça a toujours été un bon catalyseur des effets du LSD. C'est ptet le fait que tu sois passé au (nouveau ?) vapo qui t'a surpris par son interaction avec le L. :vap: Peace.

Difficile à dire pour les brainzap, mais ils surviennent souvent suite à une consommation importante voire excessive d'une substance. Peut-être espacer un peu les prises - 2 semaines d'intervalle entre chaque prise sur une longue durée ça semble peu, il faut prendre le temps de digérer les messages délivrés par les psychédéliques. Et accessoirement aussi, laisser retomber la tolérance au produit. Après, qu'un trip puisse paraître vraiment particulier par rapport à d'autres n'est pas surprenant, il est toujours difficile de prédire à l'avance où les psychédéliques vont nous emmener...Peace :vap:

@WW420

Je pense qu'il y a confusion sur les termes, tu confonds 'renouveau' et' ego death'. Qu'on se sente complètement changé, que l'on voit la vie sous un autre angle, qu'on se sente 'renouvelé' en quelques sortes, fait parti des effets potentiellement ressentis après une session avec des psychédéliques. Et c'est clair que ça peut faire un bien fou ! Mais ça n'a rien à voir avec ce qu'on appelle l'ego death, qui désigne plutôt un instant du trip où l'on n'est plus capable d'appréhender le sens de "JE", ni de ce qu'on est, au profit d'un sentiment d'unité et d'indivision avec l'Univers, le monde qui nous entoure. Et comme ça t'a été dit et répété, fais bien attention avec les dosages farfelus que ton dealos annonce pour les cartons. Il y a des chances qu'ils soient fortement surévalués, et, comme je l'avais déjà dit sur un des tes autres posts, méfiance le jour où tu changes de crèmerie. Un 200ug réels, le jour où tu tombes dessus, pourrait te mettre une rouste au delà de ce que tu a …

Si t'es accoutumé avec l'e-cig, c'est LE mode de consommation idéal pour la DMT. J'ai fait ici un tuto sur le sujet; si tu maîtrises ton e-cig, tu maîtrise ta DMT. C'est juste la meilleure façon de gérer ta vaporisation. Point. Cela dit, j'ai commencé le post par "si". Et si ce n'est pas le cas, c'est plus aléatoire.

@Sunshine Maker

[quote]DMT pour une première fois aux psychés, c'est comme commencer le cannabis avec de la moonrock je trouve que c'est trop pour un novice des psychédéliques.
Certe l'effet dure moins longtemps que la plupart des autres mais il est aussi plus intense et un badtrip à la DMT ça n'a je pense rien à voir avec le reste. Bien que un bad aux champis ça secoue et au LSD aussi.

Mais le LSD je trouve que tu peux bien mieux gérer tes pensées même négatives j'arrive à focus sur autre chose rapidement. Les champignons je trouve que les pensées dérangeantes et négatives s'enracinent au plus profond de chaque cellule de ton cerveau.

Moi je dirais LSD. Entre 30 et 50ug pour commencer
Avec un produit testé, sur le DN tu seras bien servi et les dosages sont généralement réalistes.[/quote]
Mouii, mais non. Je m'explique. Je pense que quelle que soit la charge, LSD, champis ou DMT, un bad trip = un bad trip. Pas persuadé qu'on puisse graduer en échelle d'intensité un bad entre chacune …

Outch, c'est chaud...à moins qu'il y ait un gros héritage à la clé (je plaisante), ça ne semble pas une très bonne idée, a fortiori si ta mamie a des fragilités cardiaques. Les émotions intenses produites par le LSD, à elles seules peuvent faire grimper le tempo du palpitant à tout bout de champ. Sans parler des effets physiologiques inhérents (vasoconstriction entre autres). Oui Albert en a consommé à ces âges-là, mais c'était un chimiste, un scientifique donc, et qui plus est, face à son "enfant terrible", qu'il connaissait fort bien en terme de dosages et d'effets. À 80 piges, quand Hofmann prenait du LSD, il savait exactement à quoi s'attendre (et n'avait peut-être - voire probablement - pas de soucis cardiaques). Ta mamie qui n'a jamais pris de psychés de sa vie, en revanche, risquerait d'être un peu prise au dépourvu...

EDIT :

[quote]Elle connait bien mes trips, que j'aime lui raconter, elle comprend parfaitement que ce l'on voit sous LSD, ce n'est pas du délire, elle en voit l …

Salut à tous. Bon et bien l'essentiel de ma requête est résumée dans le titre : certains d'entre vous ont-ils des retours d'expérience de consommation de MDMA en la vaporisant via un e-liquide avec une e-cig ?
Si oui, quels résultats attendre ? (rendu et durée des effets comparé à l'absorption)
Quels risques potentiels (ou diminution de risques) comparé à d'autres modes d'administration ?
Quel ratio MDMA/liquide PG/VG ? Est-ce que ça se dissout bien ?
Quelle température idéale de vaporisation ?

Merci d'avance pour votre aide ;) @++ :vap:

[quote]Salut, je n'es pas le presemption, après il est vrai que le mot "drogue" est un terme générique.
De faite je corrige, je dirais que j'ai testé beaucoup de drogue. Je n'est pas la prétention de faire genre "je suis un daron qui est immunisé..."
Oui, c'est mon premier poste.[/quote]
C'est déjà bien plus raisonnable :) Bon c'était pas tant sur le terme "drogue" que je tiquais, mais plutôt sur l'aspect "je les ai absolument toutes consommées". En lisant ton premier post, pendant un court instant j'ai pensé à cette chanson de Dutronc : "j'ai tout bu tout vu tout lu". J'avoue, j'avais envie de caser une référence musicale de derrière les fagots. C'est fait, et quelle référence :lol:

[quote]Je suis ici surtout pour partager mes différences expériences dans les X drogues, que j'ai pue consommer. Je suis venue ici comme je disait pour partager mon expérience, conseiller par l'assoc AIDE et ASUD (dsl pour fautes) mais pour se faire je préfer en discuter avec une personne qui aurai des qu …

Sinon pour cette histoire de tolérance que tu évoques Teona Nacatl, j'essaye de comprendre, parce que pour ma part j'ai pas le sentiment d'avoir ressenti de forte tolérance avec l'e-cig - ni avec la changa d'ailleurs, mais je me suis jamais enfilé plusieurs joints à la suite sans interruptions. Alors je me dis que le sentiment d'absence (ou quasi-absence) de tolérance peut être dû à 2 choses : le fait que lors de 'longues' sessions avec l'e-cig, je ne retombe jamais à zéro, je retire dessus avant même que la totalité des effets soient dissipés, bref les MAO sont au turbin non-stop. L'autre possibilité c'est que sans m'en rendre compte, au fur et à mesure, je tire plus souvent ou plus longtemps dessus pour compenser cette éventuelle tolérance. Pour le coup c'est un peu plus difficile à quantifier avec l'e-cig, je sais à peu près la quantité globale de DMT présente dans le réservoir, mais pas la quantité délivrée à chaque bouffée (variable selon sa durée et/ou selon les réglages/paramèt …

De ce que je sais, la DMT a quand même une tolérance très faible. Pas besoin de trop charger la mule même après de grosses rafales*. Peut-être que la tolérance se manifeste différemment selon qu'on se colle un gros 30mg d'un coup en GVG ou 50 ou 80 mg en progressif ? En fait les données sur le sujet sont encore fébriles.

[i]*dans l'étude clinique de Strassman, je crois que pour déterminer la tolérance il avait filé à quelques cobayes 4 rations de 0.4mg/kg en IV durant une journée, et une bonne partie était partie le plus loin et de la façon la plus agréable au 4ème voyage). Ça avait permit de conclure à la très, très faible tolérance de la DMT, en tous cas en IV, mode d'administration exclusif de l'étude.[/i]